Interview
with Jérémie Szpirglas
Brochure of Conservatoire de Paris 2024-2025
Blur
Reviews :
“… The festival and its supporting foundation owe their name and origin to Winnaretta Singer, the Princesse de Polignac and patron of composers from Ethel Smyth to Stravinsky. The concert includes a substantial new piece, Blur by Imsu Choi (b1991), the foundation’s current composer-in-residence. Purely from your ears, you might not guess the work’s modest instrumentation for clarinet, cello and piano, so ingenious is Choi’s exploration of their timbral and registral extremes. She does not waste notes over mere effects during a tautly drawn six minutes, but an extensively prepared piano allows for the anchoring sonority of a deep bell, while both melody instruments bounce and refract high harmonics off each other in a disorientating blur of both textures and roles: no fancy electronic kit in sight.”
Peter Quantrill, Gramophone, October 16, 2025, <The best online classical concerts and events this month (Awards issue 2025). Peter Quantrill tunes in to recent and archival concerts marking Pierre Boulez’s centenary>
“Pour clarinette, violoncelle et piano, Blur (« se brouiller ») de la compositrice coréenne Imsu Choi, présente dans les rangs du public, n'est pas dirigée. La pièce, qui a été révisée pour l'occasion du concert, nous enchante via l'aura de mystère et d'inouï qu'elle dégage. Le piano est préparé et deux « i.bows » (archets électroniques) ont été installés sur les cordes, entretenant secrètement un bourdon sur lequel se dessinent les morphologies sonores : alchimie du timbre façonné par les techniques de jeu étendues sur les trois instruments, musique de la fragilité et de la fugacité, cette courte pièce est superbement restituée par nos trois musiciens en parfaite synergie."
Michèle Tosi, ResMusica, le 10 juin 2025, <La Fondation Singer-Polignac fait son festival>
IIIN
Reviews :
“… Après l’entracte, l’ensemble Next, à l’effectif inédit (flûte, clarinette, guitare électrique, accordéon, violoncelle), présente également une œuvre en création mondiale. IIIN, de la Sud-Coréenne Imsu Choi (née en 1991) réjouit de bout en bout. Quelle merveille d’expression infinitésimale ! Quelle variété de timbres sans recherche d’effet ! Quelle subtilité de ton (onirique, poétique, toujours prenant) ! …”
Pierre Gervasoni, Le Monde, Publié le 05 février 2025, <Le Festival Présences célèbre la magnificence explosive d’Olga Neuwirth>
“… Ils ne sont que cinq sur le plateau de l'auditorium, membres de l'Ensemble Next du Conservatoire de Paris, pour donner à entendre, en début de seconde partie, IIIN, un bijou joliment ciselé de la compositrice et ondiste coréenne Imsu Choi. Elle a sélectionné ses couleurs, flûte, clarinette, violoncelle accordéon et guitare électrique (à laquelle elle réserve une superbe plage soliste) pour modeler le timbre dans la fusion des sources sonores et travailler dans le spectre, entre énergie et souplesse du geste, éclats et fragilité de la matière. Subtil et poétique ! …”
Michèle Tosi, ResMusica, le 6 fèvrier 2025, <Coup d’envoi du festival Présences dédié à Olga Neuwirth>
OM24
Reviews :
“… Les ondes Martenot sont assez rarement utilisées avec l'électronique. C'est l'expérience que tente avec bonheur Imsu Choi, compositrice et ondiste qui a invité son professeur Nathalie Forget pour la création de OM24. … Les trames sonores acquièrent une densité inédite, dialoguant au mitan de l'œuvre avec une plaque tonnerre mise en vibration. L'instrument retrouve ses qualités expressives dans une dernière partie très planante où, comme chez Messiaen, le son devient couleur. …”
Michèle Tosi, ResMusica, le 23 septembre 2024, <La musique « installée » du Cursus 2024>
Turangalîla
Reviews :
“… Imsu Choi’s playing was subtle and nuanced, … In the solos, Choi always judged it very nicely, and in the latter stages—not least the enchanting Jardin du sommeil d’amour and the eighth movement, Developpement d’amour—she had adjusted well-nigh perfectly. …”
Guy Rickards, The Critics’ circle, may 3 2024, <TURANGALÎLA-SYMPHONIE>, Thomas Kelly, piano, Imsu Choi, ondes martenot, Royal College of Music Symphony Orchestra / Jac van Steen – Royal Festival Hall, May 1, 2024
“… At the Festival Hall, Messiaen’s sprite-like writing was performed with balletic nimbleness by composer and ondiste Imsu Choi, who also found some brilliantly eerie Hammer Horror effects in the third movement. …”
Benjamin Poore, Engelsberg Ideas, June 4 2024, <Messiaen’s many mutations>
 
            
              
            
            
          
               
            
              
            
            
          
              