Interview
with Jérémie Szpirglas
Brochure of Conservatoire de Paris 2024-2025
IIIN
Reviews :
“… Après l’entracte, l’ensemble Next, à l’effectif inédit (flûte, clarinette, guitare électrique, accordéon, violoncelle), présente également une œuvre en création mondiale. IIIN, de la Sud-Coréenne Imsu Choi (née en 1991) réjouit de bout en bout. Quelle merveille d’expression infinitésimale ! Quelle variété de timbres sans recherche d’effet ! Quelle subtilité de ton (onirique, poétique, toujours prenant) ! …”
Pierre Gervasoni, Le Monde, Publié le 05 février 2025, <Le Festival Présences célèbre la magnificence explosive d’Olga Neuwirth>
“… Ils ne sont que cinq sur le plateau de l'auditorium, membres de l'Ensemble Next du Conservatoire de Paris, pour donner à entendre, en début de seconde partie, IIIN, un bijou joliment ciselé de la compositrice et ondiste coréenne Imsu Choi. Elle a sélectionné ses couleurs, flûte, clarinette, violoncelle accordéon et guitare électrique (à laquelle elle réserve une superbe plage soliste) pour modeler le timbre dans la fusion des sources sonores et travailler dans le spectre, entre énergie et souplesse du geste, éclats et fragilité de la matière. Subtil et poétique ! …”
Michèle Tosi, ResMusica, le 6 fèvrier 2025, <Coup d’envoi du festival Présences dédié à Olga Neuwirth>
OM24
Reviews :
“… Les ondes Martenot sont assez rarement utilisées avec l'électronique. C'est l'expérience que tente avec bonheur Imsu Choi, compositrice et ondiste qui a invité son professeur Nathalie Forget pour la création de OM24. … Les trames sonores acquièrent une densité inédite, dialoguant au mitan de l'œuvre avec une plaque tonnerre mise en vibration. L'instrument retrouve ses qualités expressives dans une dernière partie très planante où, comme chez Messiaen, le son devient couleur. …”
Michèle Tosi, ResMusica, le 23 septembre 2024, <La musique « installée » du Cursus 2024>
Turangalîla
Reviews :
“… Imsu Choi’s playing was subtle and nuanced, … In the solos, Choi always judged it very nicely, and in the latter stages—not least the enchanting Jardin du sommeil d’amour and the eighth movement, Developpement d’amour—she had adjusted well-nigh perfectly. …”
Guy Rickards, The Critics’ circle, may 3 2024, <TURANGALÎLA-SYMPHONIE>, Thomas Kelly, piano, Imsu Choi, ondes martenot, Royal College of Music Symphony Orchestra / Jac van Steen – Royal Festival Hall, May 1, 2024
“… At the Festival Hall, Messiaen’s sprite-like writing was performed with balletic nimbleness by composer and ondiste Imsu Choi, who also found some brilliantly eerie Hammer Horror effects in the third movement. …”
Benjamin Poore, Engelsberg Ideas, June 4 2024, <Messiaen’s many mutations>